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Des Ă©tiquettes attribuĂ©es dĂšs lâenfance Le petit dernier, lâaĂźnĂ© raisonnable, le chouchou, la petite, le distrait⊠les qualificatifs que les parents donnent Ă un enfant ne manquent pas. Pourquoi ce besoin de donner un surnom ou une caractĂ©ristique ? Les parents le font bien souvent par affection. Nous ressentons le besoin de lui faire sentir quâil est unique Ă nos yeux. Ainsi, nous pensons le diffĂ©rencier des autres membres de la fratrie. Nous lâidentifions Ă un comportement bien ancrĂ© chez lui, ou bien Ă un trait physique particulier. Ce peut aussi ĂȘtre un dĂ©faut qui va ĂȘtre mis en exergue le lambin », toujours Ă la traĂźne », une ressemblance avec un autre membre de la famille tata bis ». Que ces surnoms soient adoptĂ©s tels quels ou quâon les Ă©voque ponctuellement, ils sont le reflet des projections que les parents font sur leur progĂ©niture. Consciemment ou non, les mots prononcĂ©s vont induire des comportements. Celui toujours considĂ©rĂ© comme lâenfant modĂšle va redoubler dâefforts pour satisfaire ses parents. Celui envers qui on montre inconsciemment une prĂ©fĂ©rence va tout faire pour rester en demande. Il se rassurera ainsi sur lâamour que ses parents lui portent en qu'il reste dans ces projections, il nâa pas conscience de sa propre individualitĂ©. Il se pense de la mĂȘme façon que ses parents le dĂ©crivent. Il cherche le plus souvent Ă coller Ă ce modĂšle, au dĂ©triment de ses propres besoins. Dans le cadre de la relation entre frĂšre et sĆur sâinstalle alors le mĂȘme phĂ©nomĂšne. Tu es l'aĂźnĂ© ou le cadet donc tu es comme ci ou comme ça parce que les parents te dĂ©crivent de cette façon. Je te perçois de la mĂȘme façon quâeux, parce que jâai Ă©tĂ© Ă©levĂ© dans cette idĂ©e. On voit bien quâalors, chacun dans la fratrie occupe une place prĂ©dĂ©terminĂ©e, dans un jeu de rĂŽles distribuĂ© par les parents. Bien Ă©videmment, cela se fait parfois bien subtilement et sans mauvaise intention. Au fil des annĂ©es pourtant, le poids des Ă©tiquettes se fait sentir et la bonne entente peut se dĂ©grader. La place dans la fratrie adulte Il est curieux de constater comme nous avons tendance Ă rester le petit dernier ou le grand, ou encore celui du milieu, dans nos tĂȘtes dâadultes. Le schĂ©ma de lâordre fraternel peut perdurer toute la vie1â. Il se rĂ©vĂšle alors douloureux quand la relation entre frĂšre et sĆur est dĂ©finie par ces rĂŽles limitants. Prenons lâexemple dâun aĂźnĂ© qui a toujours dĂ» montrer lâexemple et prendre les plus petits sous son aile. BĂ©nĂ©ficiant de la totale confiance de ses parents, et dâune certaine pression pour satisfaire leurs exigences, il peut garder la mĂȘme attitude une fois adulte. Câest comme ça que certains vont vouloir rĂ©genter lâorganisation familiale pour les fĂȘtes, les vacances, les dĂ©marches lors des dĂ©cĂšs. Ils vont alors penser qu'ils doivent protĂ©ger leurs cadets. De leur cĂŽtĂ©, les plus jeunes vont alors se sentir tenus pour incapables ou irresponsables, comme sâils nâavaient pas grandi. Mais un autre revirement peut opĂ©rer. LâaĂźnĂ© peut au contraire vouloir se dĂ©gager de cette Ă©tiquette dâenfant modĂšle tandis que les autres membres de la famille continueront Ă sâappuyer sur lui. C'est alors une relation entre frĂšre et sĆur de dĂ©pendance qui peut sâinstaller. Les cadets comptant toujours sur lâaĂźnĂ© pour rĂ©gler les problĂšmes, prendre en charge en particulier tout ce qui relĂšve de la transmission familiale. Evidemment, ces problĂ©matiques peuvent se transposer du cĂŽtĂ© des plus jeunes. Ceux-ci peuvent se sentir frustrĂ©s de subir le poids du modĂšle aĂźnĂ© mĂȘme une fois adulte. Combien dâenfants devenus adultes continuent Ă se comparer en pensant ne jamais rĂ©ussir Ă Ă©galer la fratrie ? Quant Ă celui du milieu, coincĂ© entre lâaĂźnĂ© et le benjamin, il souffre souvent du syndrome du vilain petit canard. Trouver sa place nâest jamais Ă©vident, peut-ĂȘtre encore plus quand on arrive entre deux enfants. LâaĂźnĂ© est la plupart du temps trĂšs attendu, le petit dernier particuliĂšrement chouchoutĂ© quand on sait quâil nây aura pas Ă suivre. Celui dit du "milieu", mĂȘme adulte, peut Ă©prouver la sensation de nâavoir toujours pas la reconnaissance quâil recherche. Pour peu que lâaĂźnĂ© et le benjamin se soient naturellement rapprochĂ©s, il sera alors toujours tiraillĂ© entre la recherche de lâamour de ses parents et la quĂȘte de lâacceptation par sa fratrie. Des sentiments complexes et persistants Selon la relation tissĂ©e dans lâenfance entre frĂšre et sĆur, des sentiments contrastĂ©s naissent. Les besoins affectifs de chacun engendrent des attentes envers les uns et les autres, pas toujours comblĂ©s comme on le souhaiterait. Les enfants reproduisent entre eux les comparaisons systĂ©matiques que font leurs complexes dâinfĂ©rioritĂ© sont frĂ©quents. Parce quâun enfant aura Ă©tĂ© dĂ©crit comme le petit gĂ©nie de la famille, ou encore celui qui est un vrai champion de sport, alors l'un des membres de la fratrie se sentira toujours en position de faiblesse dans ces domaines. Cela peut se transformer en sentiment dâinfĂ©rioritĂ© en dĂ©coule possiblement une forme de jalousie, parfois des tentatives dâimitation. Les enfants peuvent donc essayer de les rattraper en se dĂ©marquant Ă leur façon⊠pas toujours positivement. Si certains vont redorer leur estime de soi et leur besoin de reconnaissance parentale, en excellant dans une passion ou un secteur professionnel, dâautres vont plonger dans la rĂ©bellion par provocation. Cela peut aller jusquâĂ des phĂ©nomĂšnes dâautosabotage. Par exemple, une fille dont la sĆur aĂźnĂ©e aura toujours Ă©tĂ© vue comme belle, ou trĂšs douĂ©e intellectuellement, aura tendance Ă se limiter, Ă penser quâelle nâest pas capable dâen faire autant. Câest dans ce genre de situation quâon rencontre des discours internes dĂ©valorisants du type Le succĂšs ça nâest pas pour moi », de toute façon je ne mĂ©rite pas de rĂ©ussir », je nâai aucun talent particulier ». Autant de freins considĂ©rables pour lâĂ©panouissement personnel et professionnel. Lâautre enfant, celui tant enviĂ©, nâest pas responsable pour autant de ce que les parents ont projetĂ© sur lui et de lâimage que les autres membres de la famille sâen font. Il doit par contre veiller Ă ne pas jouer de cela pour se mettre en position de complexes fraternels et sororaux peuvent donc ĂȘtre dâordre physique, moral, intellectuel. Ils rĂ©sultent des projections parentales et sâaccompagnent dâune bataille pour conserver lâamour des relation de jalousie entre frĂšre et sĆur est normale durant lâenfance au fond, chacun voudrait garder sa place comme dans le ventre maternel, pour ne pas manquer dâamour. Cette peur du manque est fondatrice des rapports de force qui vont sâĂ©tablir par la suite. Câest donc aux parents dâassurer aux enfants une Ă©ducation oĂč ils se sentiront reconnus pour eux-mĂȘmes, et sans comparaison avec la fratrie. La sĂ©curitĂ© intĂ©rieure ainsi acquise est celle qui permet vĂ©ritablement de devenir adulte et dĂ©passer les rancĆurs et la culpabilitĂ© de ne pas ĂȘtre celui que les parents auraient voulu. Vers une relation dâadulte Ă adulte Il y a un cap Ă franchir pour ne plus subir une relation frĂšre et sĆur dĂ©sagrĂ©able celui de considĂ©rer que les parents ont fait du mieux quâils pouvaient. Partant de lĂ , sauf cas de mauvais traitements ou violences avĂ©rĂ©es, en tant quâadultes nous pouvons dĂ©jĂ reconnaĂźtre que sâil nous semble avoir reçu trop ou pas assez en comparaison, nos parents nous ont aussi transmis lâessentiel. Un autre point est de se responsabiliser pleinement. Sortir du statut de lâenfant pour se saisir pleinement de ses capacitĂ©s dâadulte. Quelle que soit la façon dont nous avons vĂ©cu nos relations fraternelles durant lâenfance, nous sommes dĂ©sormais Ă mĂȘme de leur donner une nouvelle orientation, indĂ©pendamment du regard est tentant de conserver une attitude de victime ou de se sentir condamnĂ© Ă rester le grand irrĂ©prochable ou la petite chouchoute. Nous seuls pouvons dĂ©cider de la façon dont nous voulons ĂȘtre considĂ©rĂ©s adultes. Câest une autre relation frĂšre - sĆur qui peut se construire, sans effacer le passĂ© mais en prenant en charge nos besoins affectifs dans ce cadre. A quel moment pouvons-nous considĂ©rer les autres membres de la fratrie autrement que comme des enfants ? Il y a des circonstances de vie oĂč cela est Ă©vident. Lorsquâun des parents dĂ©cĂšde, il faut bien sâoccuper de sa succession. La remise en jeu du destin familial demande alors de sortir des chamailleries et tensions pour Ćuvrer au nom du collectif. Ce nâest pas toujours Ă©vident⊠Dâautres Ă©vĂ©nements nous donnent aussi accĂšs au statut dâadulte auprĂšs les mariages et unions, les naissances. En ces moments, nous devenons beau-frĂšre, tante ou oncle. Ces Ă©tapes sont autant dâopportunitĂ©s pour construire dâautres rapports grĂące aux nouvelles personnes agrandissant la famille. Un rĂŽle de co-Ă©ducateur, de soutien moral ou affectif, un rĂŽle empreint de complicitĂ© avec un neveu ou une niĂšce⊠Et quand la cellule familiale demeure celle de la fratrie de dĂ©part, sans enfants ni conjoints ? La problĂ©matique reste la mĂȘme adultes, nous avons le pouvoir de dĂ©cider de nos envies et nos besoins. En les identifiant et en allant chercher en nous-mĂȘmes et auprĂšs des autres les moyens de les combler de façon saine, nous continuons Ă nous construire. Nous dĂ©veloppons notre personnalitĂ© en dehors des parents. Cela nâappartient quâĂ nous. Le poids de lâhistoire familiale Consciemment ou non, chaque parent lĂšgue Ă sa progĂ©niture une part de son histoire personnelle et familiale. ElevĂ©s dans un ensemble de croyances systĂ©miques, nous nous faisons trĂšs tĂŽt une idĂ©e de la façon dont nous sommes censĂ©s mener notre vie pour rester dans la lignĂ©e familiale. Le plus logique Ă©tant de reproduire tout ou partie des accomplissements de nos parents mĂȘme type de profession ou mĂȘme niveau de revenus, mĂȘme rĂ©gion ou ville, mĂȘme type de relations amoureuses ou amicales⊠Au-delĂ des clichĂ©s, il demeure que nous sommes profondĂ©ment influencĂ©s par leur histoire sans forcĂ©ment nous en rendre compte. Câest ce qui fonde la famille comme systĂšme dont les membres sont interdĂ©pendants. Une fois adultes, difficile de se dĂ©faire des injonctions parentales. Qui nâa pas entendu cette petite voix nous dire si ton pĂšre voyait ça », ta grand-mĂšre nâaurait jamais osĂ© faire ça ». Nos choix professionnels comme personnels sont susceptibles de subir le poids de lâhistoire familiale. Par loyautĂ©, nous restons fidĂšles Ă ce que les parents ont projetĂ© sur nous et Ă notre relation dâenfance entre frĂšre et sĆur. Au niveau amoureux, il se peut par exemple que nos interactions soient marquĂ©es par la dĂ©pendance affective parce que nous recherchons en vain lâamour que nous attendions dâun membre de la famille absent. Dans le cadre du travail, nous pouvons nous mettre sans cesse en situation de compĂ©tition nĂ©faste juste pour prouver que nous valons aussi bien quâeux⊠Il y a aussi ces fratries oĂč lâun des enfants tente toute sa vie dâimiter le frĂšre ou la sĆur en faisant des choix de vie analogues, pour enfin lui plaire ou avoir le sentiment de rĂ©ussir comme lui ou elle. Des schĂ©mas peuvent ainsi se rĂ©pĂ©ter, preuve quâil est temps de se dĂ©tacher des Ă©tiquettes de lâenfance et dâoser vivre sa vie. Au moment du dĂ©cĂšs des parents, il est frĂ©quent que les choix de vie se posent davantage, comme pour enfin acter de sa propre naissance dâadulte. La relation frĂšre - sĆur est alors susceptible soit de se resserrer, soit au contraire de se dĂ©chirer. Le deuil du frĂšre ou de la sĆur parfaite La relation frĂšre - sĆur peut se compliquer quand lâun dĂ©cide de sâĂ©loigner du modĂšle familial. IncomprĂ©hension, sentiment de trahison, de rejet⊠Il est difficile autant pour lâun de choisir de vivre sa vie, que pour les autres dâaccepter qu'il change, quitte Ă sâĂ©loigner. Personne ne peut ĂȘtre parfait. Pour certaines personnes, il est douloureux de se rendre compte quâelles ne pourront jamais compter sur le soutien, la prĂ©sence ou les conseils dâun grand frĂšre. Pour dâautres, câest la jalousie perpĂ©tuelle qui viendra faire souffrir. Les manques affectifs engendrĂ©s peuvent ĂȘtre importants. Ils nous demandent de nous rendre attentifs Ă nos propres besoins. Ces absences de modĂšles idĂ©aux viennent aussi nous rappeler que la perfection nâexiste pas. Nous avons chacun nos difficultĂ©s et nous ne pouvons attendre des autres quâils comblent tous nos besoins. Hors du cocon familial, nous pouvons en tant quâadultes trouver des substituts de relations fraternelles et sororales. Les amis, les collĂšgues, les pairs que nous cĂŽtoyons sont autant de chances de relations nourrissantes. Si nous estimons avoir fait ce qui est en notre pouvoir pour rĂ©tablir une bonne relation avec notre frĂšre et notre sĆur, il faut aussi savoir avancer et se dĂ©tacher. Cela demande parfois de couper les ponts, si les rapports sont devenues toxiques. Ou bien de mettre de la distance. Parfois, un simple Ă©loignement, comme se voir un peu moins souvent, ou en dehors de la maison, peut aussi aider Ă apaiser les tensions. En attendant moins des autres, on peut aussi redevenir plus souple et ne plus tenir rigueur aux membres de la famille sâils ne sont pas comme lâon voudrait⊠Lâindividuation pour apaiser les relations familiales La notion dâindividuation, Ă©laborĂ©e par Carl Jung, correspond Ă lâĂ©mancipation de lâindividu en tant que soi. Cela signifie que nous accĂ©dons Ă une rĂ©alisation de notre personnalitĂ© Ă travers ses diffĂ©rentes facettes, y compris dans ses un enfant devenu adulte, passer par cette Ă©tape dâindividuation Ă©quivaut Ă se dĂ©tacher du systĂšme familial sans pour autant le renier ni le supprimer2â. Câest connaĂźtre son histoire, savoir comment se sont construites la relation frĂšre -sĆur et ce que nous souhaitons vivre en tant quâ bien pour soi dâabord est prĂ©fĂ©rable Ă vouloir Ă tout prix amĂ©liorer l'entente avec les uns et les autres et Ă©viter les rivalitĂ©s ou disputes. Cela Ă©vite de sâobstiner Ă reprocher des griefs qui deviennent stĂ©riles. En sâapaisant, on sâautorise aussi la libertĂ© de garder le lien ou pas. Bien souvent, dans la relation frĂšre - sĆur conflictuelle ou problĂ©matique, quand lâun des protagonistes agit pour son propre bien-ĂȘtre, cela rejaillit sur les autres Ă long terme. Il nâest pas rare que voyant quâun membre de la fratrie va mieux, semble ĂȘtre plus dĂ©tachĂ© et apaisĂ© par rapport Ă la dynamique familiale, les autres enfants se sentent alors aussi plus sereins. Cela peut aussi les inciter Ă se remettre eux-mĂȘmes en question. Au final, cela apaise lâensemble des relations familiales. En se considĂ©rant comme un adulte Ă part entiĂšre, capable de construire notre vie sans dĂ©pendre du regard de nos parents ou autres membres de la famille, nous pouvons retrouver avec ces derniers des relations plus sereines. MĂȘme sâil arrive que nous soyons dans des impasses relationnelles avec eux, prendre dâabord soin de nous nous permet de faire les bons choix vis-Ă -vis de ces relations si particuliĂšres. Questions frĂ©quentes Comment se fonde la relation entre frĂšre et sĆur ? La relation entre frĂšre et sĆur est dĂ©finie par les parents, qui vont inconsciemment induire chez les enfants, des comportements caractĂ©ristiques. Quel impact Ă l'Ăąge adulte ? Ces relations prĂ©dĂ©finies peuvent perdurer Ă l'Ăąge adulte, et l'entente entre les membres de la fratrie peut se dĂ©grader. Comment s'en dĂ©tacher ? - Ămancipation de l'individu - Se distancer du modĂšle familial- Se considĂ©rer comme un adulte Ă part entiĂšre 1 FrĂšres et sĆurs pour la vie l'empreinte de la fratrie sur nos relations adultes, Lisbeth von Benedek, Eyrolles, FrĂšres, SĆurs guĂ©rir de ses blessures d'enfance, Virginie MegglĂ©, Alix Leduc,Editions Leduc, 2015.
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Et les chaussons aux pommes font trop envie 12 le mien a l intention de me faire des attentions c deja ca non sniff 13 bon, moi je n'ai eu que de grandes attentions donc 14 le mien a l intention de me faire des attentions c deja ca non sniff Il est pas trĂšs attentionnĂ© t'as dĂ©jĂ mis plusieurs fois en avant son manque d'actions moi je dis l'intention ne compte pas si l'attention ne suit pas. 15 bon, moi je n'ai eu que de grandes attentions donc c mieux que d avoir l intention de faire des attentions non? 16 il me couvre avec le drap la nuit quand j me decouvre pendant mon sommeil pour pas que j ai froid quand il se leve avant moi il me prepare le dejeuner quand j suis malade il m aide a faire le repas et le menage quand il passe devant ma boulangerie prefere il me prend leur chaussons aux pommes qui sont un delice c est valable ca ou pas comme intentions,,,?? oh lalalalala on dirait mon mari, sauf que moi il me ramĂšne pas de chausson mais le gateau que j'aime 17 "Ce sont les petites intentions qui font les plus belle relations..." trouvez vous que ceci est vrai? et si oui quels sont les petits gestes que vous recevez de la part de votre conjoint et qui font votre bonheur ou que vous offrez a votre partenaire...? Disons que ça y contribue, ça rappelle que l'autre nous manifeste de l'interet Ă travers une action spontannĂ©e et en ont besoin et d'autres pas. 18 ce post me rapelle le proverbe ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes riviĂšres
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